Fibromyalgie et cancer : partage d’une expérience de guérison par l’alimentation vivante

assalâmu ‘alayum

Fibromyalgie et cancer :

partage d’une expérience de guérison par l’alimentation vivante

Source Veg an’ bio

legumes

Cette intéressante expérience est partagée par Gabriela Lerner dans le dernier numéro du magazine GET FRESH. Elle souffrait de fibromyalgie et mangeait ce qu’elle pensait être une alimentation saine tout en étant toujours plus accablée par les symptômes débilitants de sa maladie. Quand un cancer a été diagnostiqué à son mari ils ont découvert ensemble le mouvement de l’alimentation crue et la vie de Gabriela  a complètement changé.

Pour ceux qui n’auraient pas accès à ce texte, je m’efforcerai ci-après de traduire la plus grosse partie de ce que rapporte Gabriela :

Contrairement à d’autres éducateurs en alimentation crue, qui peuvent se targuer d’une expérience de 10, 20 ou même 30 années d’expérience, je suis une relativement nouvelle venue dans le monde du manger des aliments végétaux, non transformés, vivants, crus. Mais je suis une nouvelle venue dont la vie a été dramatiquement transformée en déménageant de ce qui était considéré comme une « alimentation saine » par les nutritionnistes conventionnels vers un mode alimentaire presque complètement cru.

Pendant plus de 20 ans j’ai souffert de fibromyalgie, un état qui provoque des douleurs chroniques dans différentes parties du corps, de la fatigue et d’autres symptômes souvent aléatoires.

Quiconque a eu la fibromyalgie, ou connait quelqu’un qui l’a, comprendra que cela peut amener à un état profondément débilitant et douloureux. Mais, comme la plupart de ceux qui en souffrent, j’ai appris à vivre ma vie de façon à ce que beaucoup de gens qui me rencontraient ne le remarquaient même pas. Cependant à l’intérieur il y avait toujours de la douleur, de la fatigue et une limitation à ce que j’étais capable de faire.

Je n’avais jamais suffisamment d’énergie et souffrais de troubles du sommeil, de SII (Syndrome de l’Intestin Irritable), d’hypoglycémie et d’un brouillard cérébral qui compliquait souvent mon fonctionnement. Mon taux de sucre sanguin pouvait sortir de ses limites à tout moment, ce qui ajoutait encore d’autres symptômes. Je devais nourrir mon corps sans arrêt pour être sûre qu’il ait assez d’énergie pour surmonter les symptômes, et étais convaincue que j’avais besoin de protéines animales pour avoir assez de force. […]

Ensuite, sans qu’on s’y attende, mon mari Neil fut diagnostiqué pour un cancer de la prostate après une visite médicale de routine. Ayant initialement considéré qu’il n’y avait aucune raison de s’inquiéter, les médecins l’ont rapidement classifié en stade trois. Chirurgie ou hormones et radiation seraient nécessaires.

Nous mangions bien, pour autant que nous en sachions, donc cela fut un gros choc ; il n’était pas supposé être malade. Neil refusa de prendre pour argent comptant ce que les médecins lui avaient dit et décida d’essayer de se soigner par lui-même. Cela signifiait des changements majeurs de mode de vie, une réduction du stress, plus d’exercice et des changements dans sa nourriture. En parallèle aux aliments spécifiquement anti-cancer à ajouter au régime, il décida aussi qu’il ne mangerait plus d’aliments transformés, de viande rouge, de produits laitiers et de sucre. Cette décision provoqua une révolution dans ma cuisine et je fus stupéfaite de remarquer combien d’aliments dans notre réfrigérateur et nos placards étaient transformés et à quel point combien ne collaient plus avec son nouveau régime. Je réalisais rapidement que la plupart de nos produits de base devraient disparaitre et que je devrais en venir à une nouvelle façon de créer des plats qui seraient encore nutritifs et délicieux.

Il y a quelque chose d’intéressant qui arrive quand vous arrêtez de consommer des produits transformés. Moins vous les mangez, moins vous avez envie de les manger. Donc, tout à fait naturellement nous avons commencé à manger plus d’aliments crus, tout ce qui nous arrivait sous sa forme naturelle que nous savions ne pas avoir été transformée.

Nous avons développé un goût pour les légumes frais d’une façon que nous n’avions encore jamais expérimentée. C’était comme si le corps hurlait « donne-moi de la verdure ! donne-moi de la verdure ! » et maintenant, évidemment, je comprends exactement ce qui s’est passé. Une fois que vous donnez à votre corps les nutriments véritables il réalise que c’est exactement ce dont il manque et que c’est ce dont il a besoin. Ce ne fut pas, de toutes les façons, un changement facile et j’ai eu à me battre avec une adaptation de mon approche à cuisiner d’une manière nouvelle. Pas de steak, de saucisse, de fromage ? Vous plaisantez ! Neil avait décidé clairement de ne plus manger de viande rouge, mais nous mangions encore occasionnellement tous les deux une petite part de poulet ou de poisson.

Alors que je recherchais de nouvelles idées de repas je commençais aussi à chercher quels aliments seraient bons pour aider le corps à s’alcaliniser et à soutenir la guérison du cancer. Ce fut durant cette recherche que je croisais le site Web de Marie-Claire Herman (ravishingraw.com).

Marie-Claire avait souffert de fibromyalgie parmi tout un tas d’autres troubles et problèmes de santé qui avaient tous été surmontés avec une alimentation crue. Son histoire de santé semblait tellement similaire à la mienne, mais elle m’offrait surtout l’espoir que, moi aussi, je pourrais aller mieux. Il n’y eut plus d’arrêt pour moi. Si cela avait marché pour elle, cela pouvait aussi marcher pour moi. L’une de mes forces est que lorsque je décide de faire quelque chose je me plonge de tout cœur dedans. J’ai téléchargé le e-livre gratuit de Marie-Claire qui donnait un programme de trois jours d’alimentation crue. Neil et moi-même suivirent ces trois jours ; nous avons adoré la nourriture, nous avons adoré la façon dont nous nous sentions et nous avons décidé sur le champ de rester « crus ».

J’ai toujours été considérée par les amis et la famille comme une cuisinière accomplie. J’ai un talent naturel pour créer des plats délicieux et je suis fière de pouvoir faire un repas quels que soient les produits dont je dispose dans le réfrigérateur. Je ne me contenterais certes pas de repas crus médiocres et savais que je désirais continuer à préparer des plats dont ma famille et mes amis se régaleraient, exactement comme lorsque je les cuisais. Je devais me ré-entrainer comme « chef cru ». Une autre chose importante était que l’alimentation devrait être facile et pas trop longue à préparer pour s’adapter à ma vie occupée. Je commençais à chercher des plats végétariens et à les adapter en plats végétaliens, crus. Je commençais à tester les recettes des autres, mais comme j’étais habituée à créer mes propres plats, je me suis vue désirer les changer et les améliorer à ma propre façon pour qu’ils s’adaptent à nos goûts et à notre mode de vie, bien que je manquais de connaissance et de technique pour cette nouvelle façon de manger.

Mes talents de cuisinière mises au défi par notre décision de passer au cru, je commençais à chercher des cours et des possibilités de formation disponibles pour la novice que j’étais. J’ai envisagé de suivre une formation de chef aux USA avec Matthew Kenney ou Cherie Soria mais finalement je décidais que j’avais seulement besoin d’apprendre quelques nouvelles techniques et plus de compréhension sur la façon dont les différents groupes d’aliments fonctionnaient ensemble. Je me suis inscrite au cours en ligne « Raw chef At home » avec Russell James, le chef cru. A travers ses cours en vidéos j’ai appris à améliorer mes techniques de découpe et comment rendre les aliments attractifs tout en ayant un goût merveilleux. Ses cours m’ont appris le principe de la combinaison des saveurs, quelque chose que j’avais déjà pratiqué intuitivement dans l’alimentation cuite mais qui devait être revu dans ma cuisine crue. En trois mois je commençais à me sentir confiante et confortable avec la création de nouveaux plats crus, à partir de presque rien, de façon quotidienne.

Manger cru n’affecte pas seulement le corps. Quelque chose d’autre se produit qui affecte l’être tout entier. Les légumes crus, les noix, les graines, les fruits et les herbes sont remplis d’une énergie vibratoire élevée et ils vous font vous sentir plus léger, plus heureux et plus en harmonie.
J’ai expérimenté cela dès les premiers mois de mon passage au cru. Je commençais à me réveiller avec joie le matin pour démarrer la journée et découvrais que je n’avais plus les sautes d’humeur auxquelles j’étais habituée avec la fibromyalgie et également la ménopause.

Ces effets m’ont amenée à me poser la question de savoir ce que je souhaitais faire du reste de ma vie. Que pourrais-je faire avec tout ce surplus d’énergie, avec cet esprit dynamique et cette disponibilité que j’étais en train de créer en supprimant mes douleurs ?

A cette époque je dirigeais une société d’import et de distribution, un travail très stressant qui m’était devenu moins intéressant au fil des années. Cependant avant de souffrir de fibromyalgie, j’avais été consultante et coach en développement personnel. J’avais dû abandonner cette carrière à cause de mon état qui me compliquait le fait d’avoir l’énergie et la concentration nécessaires pour l’animation des ateliers. Manger des aliments végétaux, frais et purs et les effets que cela a eu sur ma vie m’a fait réaliser que je souhaitais retravailler avec les gens, les aider à retirer le meilleur de leur vie et être aussi sains que possible. Ce ne fut pas un grand saut à faire que d’arriver à la conclusion que je souhaitais enseigner l’alimentation crue.

J’ai donc suivi les cours de Russell James et les cours intensifs de Karen Knowler pour les enseignants en alimentation crue. C’est un autre cours en ligne. (…) Comme je commençais à me sentir plus confiante, mettre sur pied mes propres cours fut simplement une histoire de structure de ces cours, de pratique des recettes et de faire un « cours-test’ avec des amis. Je fixais une date pour mon premier cours et commençais à le diffuser sur Internet, sur les réseaux sociaux et localement par flyers et sur des listes d’évènements. Malgré mes efforts intensifs, je n’étais pas sûre de pouvoir enrôler des gens dans un cours alors que j’étais pratiquement inconnue dans le monde cru et ce dans une petite ville du Dorset. Je fus donc agréablement surprise de voir apparaitre 12 participants. Ce qui fut encore plus surprenant et merveilleux fut que tous ces gens aimèrent tant le cours qu’ils s’inscrivirent immédiatement pour le prochain et le suivant. J’eus ainsi 17 réservations pour mon second cours.

L’alimentation crue est un changement de vie, pas simplement un changement de régime et je comprends combien cela peut être dur, étant moi-même passée par là. A travers mes cours je peux donner aux gens des outils simples qu’ils peuvent mettre en pratique à la maison pour faire la transition vers l’alimentation crue.

(…)

Je recois désormais de nombreux retours sur mes cours, tels que « J’ai commencé a boire un smoothie vert chaque matin et je me sens merveilleusement bien« ,  « Vous m’avez inspiré pour manger plus d’aliments frais« , « J’ai fait votre courgette /sauce tomate et mon mari a trouvé ce plat délicieux… sans même noter que c’était cru »  (…). Ces retours encourageants m’ont fait prendre conscience de l’importance des enseignants et coach en alimentation crue pour aider les gens à changer leur mode alimentaire. Beaucoup de gens trouvent facile de se connecter à Internet, de lire les recettes et simplement de les faire. Mais je crois qu’il y a encore plus de gens qui ont besoin d’un petit encouragement sur leur chemin.

Depuis ma décision de passer au mode de vie cru, j’ai graduellement diminué les heures de mon ancien travail pour passer plus d’heures dans le nouveau. Je suis désormais une enseignante et coach a temps plein, suivant des cours dans l’Institute of Integrative nutrition pour obtenir une certification. (…) Je suis particulièrement intéressée par les femmes entre 40 et 60 ans.

Quelquefois elles veulent juste perdre le poids qu’elles ont accumulé au fil des années (…) En vieillissant nous commençons à réaliser que nous ne sommes pas invincible et nous pouvons soudainement être confronté au fait que notre corps n’est pas aussi sain que nous le pensions. (…) Beaucoup de femmes et d’hommes plongent leur tête dans le sable en le réalisant mais d’autres décident de faire un pas vers le changement. Ce sont les gens avec lesquels j’adore travailler comme ils ont déjà réalisé que c’est dans leur intérêt et celui de leur famille de changer leur nourriture.

Mon voyage cru a été exceptionnel a la fois personnellement et professionnellement. Dans mon ancien travail j’étais constamment stressée et poussée vers mes limites. Il a fallu ce revirement vers l’alimentation crue pour que je réévalue ma vie professionnelle et réaliser que je n’avais pas à vivre de cette façon. J’ai décidé de commencer une nouvelle carrière sur une voie différente, concentrée sur l’équilibre et la santé ; pas seulement pour mes clients mais aussi pour moi et ma famille. J’ai 56 ans et je me sens mieux que jamais. Et ce n’est pas une exagération. Je me sens vivante et vibrante. Mon mari n’a jamais été opéré ou eu de thérapie hormonale ou de radiothérapie, bien que nous n’ayons jamais eu la prétention de le guérir par l’alimentation crue. Il y a beaucoup plus pour lutter contre le cancer ou n’importe quelle autre maladie, que la nourriture seule. Mais l’alimentation est l’une des premières étapes sur laquelle tous les autres changements peuvent s’appuyer au fil du renforcement du corps et de sa guérison, le mental et l’esprit ont une chance de se renforcer et  guérir également.

(…)

Parlez à quiconque devenu crudivore et il aura généralement quelque évènement à raconter sur ce qui a déclenche son changement. C’est une grande nouvelle. Cela signifie que l’alimentation n’est pas « un autre régime à la mode ». Il change la vie des gens et encourage ceux avec lesquels nous entrons en contact.

Colette

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Source : http://veganbio.typepad.com/veg_anbio/2014/04/fibromyalgie-partage-dune-exp%C3%A9rience-de-gu%C3%A9rison-par-lalimentation-vivante.html

Elle guérit son cancer avec des jus de fruits et légumes bio

assalâmu’ alaykum

Elle guérit son cancer avec des jus de fruits et légumes bio

Source : Le Trait d’Union.com

Source : Le Trait d’Union.com

Marie-Josée Campagna a appliqué la méthode Gerson

Pour Marie-Josée Campagna, c’était peut-être le choix le plus important de sa vie. Atteinte d’un cancer, elle a refusé la chimiothérapie et opté pour une thérapie alternative, basée sur la nourriture: la méthode Gerson. Aujourd’hui, elle ne regrette rien.

En mai 2010, la Terrebonnienne apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Mais pas n’importe lequel: un triple négatif grade 3. C’est le plus mortel, et il s’était répandu dans les ganglions. Marie-Josée Campagna a alors 43 ans et 4 enfants. Les médecins lui proposent le traitement habituel. Elle dit oui à la chirurgie, mais non à la chimiothérapie. «C’était une chimiothérapie très agressive. Je me suis renseignée, et j’ai vu que ça n’augmentait les chances de guérison que de 10%. Ma plus petite fille avait 6 ans, elle n’aurait pas pu approcher de moi, j’allais perdre mes cheveux en 10 jours, et j’avais une chance sur trois de mourir», se souvient-elle.

Mais il fallait bien faire quelque chose. Elle découvre la méthode mise au point par le docteur allemand Max Gerson après-guerre. Elle consiste en une cure de fruits et légumes bio. «L’idée est de ramener le PH du corps au-dessus de 7. C’est scientifiquement impossible que les cellules cancéreuses se développent dans ces conditions», explique Marie-Josée Campagna. «Le plus dur, ça a été de faire ce choix. Je me disais que si je m’écartais de la voie classique et que je mourrais, on m’en aurait voulu. J’ai perdu 20 livres le temps de prendre ma décision».

D’autant que cette méthode est interdite en Amérique du Nord. La Société canadienne du cancer a refusé de nous donner son point de vue sur cette cure. Nos demandes d’entrevue auprès du Collège des médecins, des Associations des radio-oncologues, des hémato-oncologues, ont toutes obtenu une fin de non-recevoir elles aussi. «On demande à nos médecins de pratiquer selon les normes scientifiques actuelles», nous a-t-on expliqué au Collège des médecins. Nous avons également demandé à parler avec un oncologue au CSSS du Sud de Lanaudière, sans plus de résultat.

Débuts difficiles

Marie-Josée Campagna se rend à Tijuana, au Mexique, dans la clinique Baja nutri care, dépendante de l’Institut Gerson. Elle commence sa thérapie le 26 août 2010. Le séjour lui coûte 10 000$ pour deux semaines. «Mais dès que je suis arrivée, j’ai su que j’allais vivre».

Son corps a du mal à accepter cette discipline alimentaire. «Après trois jours à ne manger que des fruits et des légumes, je me suis mise à trembler. Je me sentais faible. C’est une cure, et non une diète. La période de purge est difficile, un peu comme la période de sevrage des drogués. Mais c’est comme si mon corps avait fini par se réguler tout seul».

L’énergie remonte, et de retour chez elle, Marie-Josée continue d’appliquer la méthode. Elle ingurgite chaque jour une douzaine de jus de fruits et légumes, accompagnées de gélules naturelles. Rien d’autre, à l’exception de gruau bio le matin et – suprême gourmandise – deux cuillérées à soupe d’huile de lin. «En un an, j’ai avalé 6000 jus», sourit-elle. Sa vie sociale change: plus de restaurant, les amis doivent venir à la maison ou s’adapter à sa cure très stricte pour pouvoir l’inviter. Elle a droit à deux petits écarts dans l’année, pour son anniversaire et à Noël. «Mais j’ai été très soutenue. Mon conjoint m’a encouragé, les enfants préparaient des jus».

Le pire? Arrêter le fromage. «J’adorais ça. Mon premier repas  »normal », ça a été une raclette. Mes enfants étaient crampés, parce qu’à chaque bouchée je ne pouvais pas m’empêcher de faire  »hmmm » tellement je trouvais ça bon». Mais aujourd’hui, le fromage ne passe plus. «Je trouve que ça goûte le beurre», déplore-t-elle.

«Les gens ont le choix»

Marie-Josée Campagna maintient cette discipline alimentaire pendant 18 mois. Il faut dire qu’elle en ressent les bienfaits. L’énergie est là. Elle ne tombe jamais malade, même pas un rhume ou une gastro. «Je n’avais même pas de SPM, mon conjoint était content!», rit cette ostéopathe, qui n’a même pas eu besoin d’arrêter de travailler. Elle contrôle son PH tous les mois, et ses efforts finissent par être récompensés. «En novembre 2012, j’ai refait des tests avec mon chirurgien. Il n’y avait plus de trace de cancer». Il faudra attendre 2015 avant d’être certain que la maladie est vaincue, mais une chose est sûre: Marie-Josée Campagna semble aujourd’hui rayonnante de santé.

Elle souhaite désormais partager son expérience. Elle sera l’un des personnages du film documentaire de la journaliste indépendante Sarah Mabrouk, The Food Cure (http://www.thefoodcurefilm.com). «Je ne remets pas en cause les autres traitements, et je ne veux surtout pas culpabiliser ceux qui ont fait d’autres choix. Mais dans un cas comme le mien, où la chimiothérapie n’aide pas vraiment, j’aimerais juste que les gens sachent qu’ils ont un choix».